A propos

Un diagnostic qui bouleverse une vie

Il y a neuf ans, tout a changé. Le diagnostic de mon fils, suivi du mien, a marqué le début d’un voyage intense dans l’univers des neuroatypiques. Ce chemin, à la fois riche en découvertes et en défis, m’a plongée dans une quête de compréhension profonde au-delà des cases et des étiquettes.

HPI, TDAH, Dysgraphie : comprendre les termes et leur impact

Dès le départ, ce diagnostic est arrivé avec une liste de caractéristiques, une sorte de carte d’identité où je reconnaissais quelques traits sans vraiment savoir comment les interpréter. Ces mots comme Haut Potentiel Intellectuel (HPI), TDAH, Dysgraphie semblaient réduire nos identités à des termes figés. Mais que signifiaient-ils vraiment ? Était-ce le reflet de nos histoires, de nos expériences, de nos croyances ? En quoi cela se mêlait-il à ma douance, à celle de mon fils ? Plus j’avançais, plus je voulais dépasser les stéréotypes, éviter les généralités, et surtout, donner un sens à ce qui nous rendait uniques.

Mon objectif était clair : éviter les stéréotypes, comprendre nos singularités et leur donner un sens authentique.

Trouver un accompagnement adapté : un défi colossal

Mais ce chemin était tout sauf simple. Trouver des professionnels capables de nous accompagner s’est vite révélé être un parcours du combattant, particulièrement pour soutenir mon fils dans la gestion de son TDAH. Heureusement, l’association HyperSupers TDAH France est entrée dans notre vie et m’a offert un soutien précieux pour mieux comprendre son fonctionnement. Malgré cela, obtenir un suivi adapté restait un défi colossal. Encore aujourd’hui  très peu de spécialistes et de médecins connaissent toutes les spécificités du TDAH surtout s’il y a des troubles associés (DYS, TSA), une 2E (double exceptionnalité) c’est un vrai challenge d’obtenir un suivi

L’épreuve des jugements sociaux

En parallèle, il fallait faire face aux jugements extérieurs. Les regards critiques de parents, amis et voisins, ainsi que les nombreux changements d’établissements scolaires, pesaient lourd. Ce dont j’avais besoin, c’était de bienveillance, de compréhension et d’outils concrets pour avancer, malgré les obstacles.

Une résilience portée par un nouvel élan professionnel

Malgré ces obstacles, ma résilience m’a portée. Après vingt ans dans le domaine de la communication, j’ai choisi de me réinventer et de me lancer à mon compte. J’ai fondé une agence de communication et de formation, marquant une étape cruciale dans ma vie. Ce fut ce que le modèle Hudson nomme un « changement de type 1 ». Mais mon envie d’apporter davantage à mon fils m’a conduite à explorer de nouvelles voies.

EFT, PNL, et hypnose :  des outils puissants pour mieux accompagner

Dans ce cadre, j’ai découvert l’EFT (Emotional Freedom Techniques), une approche douce et efficace pour nous accompagner sur le plan émotionnel.  Puis, la PNL (Programmation Neuro-Linguistique) s’est imposée à moi. D’abord en tant qu’outil pour m’aider personnellement, elle m’a fascinée par son impact et transformé ma perception  j’ai été fascinée par son efficacité, au point de me former jusqu’au niveau de maître praticienne. Cette exploration m’a ouvert à des horizons plus vastes : le coaching professionnel, le modèle Hudson, et l’hypnose Ericksonienne, autant d’outils pour évoluer et mieux accompagner les autres.

Transformer une crise en opportunité

Il a fallu une crise majeure pour tout réinventer. Un brown-out et un burnout parental m’ont confrontée à mes limites. Ces épreuves, bien que difficiles, m’ont permis de renaître. Ce que le modèle Hudson désigne comme une « transition de type 2 » m’a aidée à me délester de ce qui ne me correspondait plus. J’ai pu m’aligner sur mes valeurs, renouer avec mon essence et tracer un chemin en accord avec ce qui a du sens pour moi.

Ces apprentissages m’ont non seulement transformée, mais aussi permis de guider les autres. Comme le dit si bien Lao Tseu : « Avant de guider les autres, il est essentiel de s’éclairer soi-même. »

Mon métier : accompagner les neuroatypiques vers l’épanouissement

Aujourd’hui, à 53 ans, je suis Patricia Roques, maman d’un jeune adulte de 21 ans, Toulousaine dynamique,  authentique et j’aime démystifier les situations. Je suis spécialisée dans l’accompagnement orienté solutions et tournée vers le futur. Formée à la neuroatypie,  en particulier à la  2E, HPI, TDAH, j’accompagne la différence. Je consacre mon énergie à créer des passerelles entre les mondes neuroatypiques et neurotypiques. Mon expérience m’a enseigné que la différence est une richesse inestimable, et j’accompagne celles et ceux qui se sentent « imparfaitement parfaits » à embrasser leur singularité, s’autoriser à être eux-mêmes et concrétiser leurs projets,  qu’ils soient personnels ou professionnels.

Encourager l’humain et la bienveillance

À travers mes accompagnements mes ateliers et mes formations,  je vise à introduire l’humain et la bienveillance dans toutes les interactions. J’aide les individus à se rassembler autour de valeurs communes, à oser leur authenticité et à créer leur juste place. Tout en respectant leurs singularités, leur unicité je leur permet de se libérer des étiquettes qui leur sont souvent attribuées

Une vision pour une société inclusive

Ensemble, nous pouvons bâtir une société où chacun peut s’épanouir pleinement, dans le respect de sa singularité et de ses aspirations. Mon rôle est d’aider à transformer ces singularités en forces et à faire de chaque différence une opportunité d’enrichissement collectif.

Je suis Patricia Roques, spécialiste de l’accompagnement orienté solutions et tournée vers le futur. J’ai 53 ans, maman, aujourd’hui d’un jeune adulte de 21 ans. Je suis Toulousaine, dynamique, authentique et j’aime démystifier les situations. Formée à l’accompagnement des HPI et du trouble TDAH, j’ai à cœur de transmettre et de vous amener sur le chemin de votre épanouissement , vous ouvrir aux champs du possible afin de devenir qui vous êtes et vous autoriser à déployer vos ailes pour concrétiser vos projets. 

J’accompagne la différence,

*Je reste vigilante aux risques de contre transfert

Mon accompagnement vient en complément d’un suivi médical  et/ou d’un traitement. Il ne peut se substituer à un diagnostic. Il n’est d’ailleurs pas un acte médical en soit. Je rappelle que seul un professionnel de la santé spécialisé dans le TDAH peut poser le diagnostic médical  et non un bilan, (le bilan est utilisé pour évaluer le QI) . 
Les professionnels avec spécialisation TDAH (TND) sont les pédopsychiatres, neuropédiatres, psychiatres, neurologues.

Pour les bilans HPI, Tests de QI, ce sont les psychologues agrées et habilitées qui le réalisent.
Le WPPSI -IV ( avant 6 ans), le WISC-IV (6-16 ans) et le WAIS 4 (+de 16 ans et adultes). ETRE HPI n’est pas une pathologie.